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Projet d’extension de Guzet ( sommaire )     >>Que puis-je faire ? 
 
 
 
 
 
Ariège-Pyrénées, Montagne menacée ! 
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Protection de la Nature et de l’Homme

 
 
 
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POUR LA NATURE EN GENERAL ET POUR GUZET EN PARTICULIER, QUE PUIS-JE FAIRE ?

(diffusé en juillet 2006) 

Que puis-je faire?

 

Signer une pétition ?

Pour s’opposer à un projet il est coutume de signer une pétition, moyen pratique et rapide de s’exprimer. 
 
Vous trouverez donc une pétition à signer et à transmettre au Comité Ecologique Ariégeois. 
 

Simple adhésion au CEA ?

Une simple adhésion au CEA c’est  l’encourager et favoriser son efficacité tout en vous informant: les adhérents reçoivent un bulletin trimestriel  faisant part de l’évolution des affaires en cours. 
 On y découvre également certaines informations que vous seriez bien en peine de dénicher dans les médias... 
 
 

Agir , en devenant membre du CEA ?

Dans ce cas, merci vivement ... Car du soutien 
nous en avons réellement besoin. Et, grâce à vous,  nous pourrons, peut-être, souffler un  peu... Ou du moins, prendre en compte certains autres projets que nous aurions laissés de côté... 
Si vous êtes un tant soit peu révolté par la dégradation de la nature ariégeoise, n’hésitez pas: devenez membre du CEA ( semi-actif, actif ou très actif ). 
De toute façon, cela n’engage pas à grand chose. Si ce n’est à tenter de faire de votre mieux. 
Et vous serez particulièrement bienvenu. 
 
 

Que faire d'autre?

Avant de répondre à cette question qui s’adresse tout aussi bien à celui qui la pose, il importe de se demander pourquoi un si long exposé a été consacré à Guzet. 
Deux raisons. 
La première correspond bien sûr à la nécessité de préserver la vallée du Fouillet des erreurs de certains. 
La  deuxième répond à un désir de proposer un texte suffisamment détaillé pour que chacun puisse se forger ses propres convictions. 
L’affaire de Guzet n’est en rien un cas unique.  
Ailleurs et partout, on retrouve sans cesse, un manque de réflexion pour justifier quantité de projets; puis - pour répondre aux critiques des écologistes - des discours  pastichés à l’extrême, permettant de dire tout et son contraire... 
 
L’affaire de Guzet n’est en rien un cas unique, non, mais c’est bien justement en raison de cet “anonymat”  qu’il importerait pour une fois de brandir une affaire parmi d’autres, pour la montrer en exemple. Au plus grand nombre. 
Alors que puis-je faire?  
Et bien oui : prendre Guzet en Exemple.  
Porter cette affaire à la connaissance du plus grand nombre.  
Et ce, indépendamment de son dénouement : que le tribunal daigne ou non la rejeter. 
Le projet de Guzet est illégal. Cela ne fait pas l’ombre d’un doute. Nous avons tous les éléments en main pour le démontrer. Chacun peut lui-même au travers de ce site Internet, en avoir une suffisante  appréciation. Voir notamment la construction illégale de la piste du versant sud *  
Alors, soit les juges sont perspicaces soit ils ne le sont pas. 
Mais, à la limite , peu importe. Le futur appartient à tous. C’est à chacun de le construire. S’en remettre en permanence aux décisions de quelques uns relève de l’infantilisme.  
Donc, agissons dès à présent, en adulte responsable, et faisons connaître notre opinion sur ce type d’affaires anti-démocratiques, anti-natures et anti-légales. 
Adressons-nous gentiment, mais fermement, aux élus, aux administrations et  aux citoyens.  
 
 

Que leur dire ?

 
  • Ce que nous inspire en profondeur l’affaire de Guzet. 
  •  
  • Demander  à ce que le projet soit rejeté par tous les organismes publics qui en financent la réalisation* et ce, quel que soit le verdict du tribunal administratif. 
  •  
    Décréter que nous souhaitons également: 
     
  • l’adoption d’une éthique officielle visant à bannir la démarche  monarchique  consistant à présenter tout projet comme réalité vitale  et à imposer systématiquement  sa réalisation, au mépris même d’une réelle information et réelle concertation.  
  • A se croire donc obligé de  réaliser tout projet en oubliant l’essence même de ce qu’est un projet : ni moins, ni plus, qu'une projection mentale -une intention- qui  par définition n’est pas censée être  vérité en soi qu'il importerait systématiquement de concrétiser.Donc de réaliser. 
     
  • le refus officiel des simulacres de concertation. 
  •  
  • le refus  officiel des discours irrationnels de décideurs qui en viennent à dire délibérément des contre-vérités, pour parvenir coûte que coûte à la réalisation des projets.  
  •  
  • le refus officiel de la stratégie de fonctionnaires chargés de faire appliquer la loi ( préfets, sous-préfets,...) et qui ferment les yeux  face à des  aménagements et/ou projets illégaux,  sous prétexte que ceux-ci seraient  vitaux à l’économie d’une région.  
  •  
    Pour illustrer vos propos vous pouvez aussi reprendre l’exemple de Guzet , en piochant au hasard de vos préférences, parmi les multiples  
    facettes précédemment évoquées. 
     
  • projet illégal, cautionné par des préfets.  
  •  
  • projet qui se soldera par des dégâts considérables sur l’environnement; lesquels sont purement niés en dépit de l’évidence. 
  •  
  • mesures compensatoires dérisoires et dérisoirement brandies comme d’authentiques solutions... 
  •  
  • dépenses publiques importantes,  inutiles (et quelque peu honteuses...); 
  •  
  • projet qui fera courir des risques importants et inutiles aux skieurs comme au personnel de la station : manque de responsabilité donc des promoteurs et des décideurs. 
  •  
     
    Vous pouvez aussi, inviter votre interlocuteur à  consulter ce site Internet. 
    Quelques phrases  peuvent  donc suffire. 
    L’essentiel étant de suggérer,  par le  témoignage d’une affaire détaillée, l’existence de trop nombreux  projets  si louables en apparence,  mais qui sont pourtant prétextes à des écarts inacceptables tant en regard du respect de l’environnement  que de celui de la démocratie et de la loi.   
    Bien entendu, si vous-même connaissez d’autres affaires analogues ou présentant des points semblables, c’est  l’occasion de les citer également. 
     

    Pub pour ce site Internet ?

    Oui, “pub”, mais pour la bonne cause ! 
    Car, vu l’existence de dizaines de millions de sites Internet , il serait utopique de penser qu’il suffit de prêcher la bonne parole pour parvenir à être un tant soit peu écouté ...  
     
    Ce site n’a nullement été créé pour répondre à un quelconque besoin de marketing..., mais bien pour tenter de réagir face à des réalités inacceptables. 
    Et dans cet esprit, il n’a pas davantage été créé pour être  lu seulement de son auteur. 
    Il s’agit donc d’utiliser une arme si souvent déployée par certains, même si nous avons tendance à  la fuir : la communication à profusion, la publicité à outrance... 
    Mais redisons-le: il ne s’agit pas tant ici de faire signer une pétition au plus grand nombre que d’inviter un maximum de personnes, à  s’exprimer directement avec leurs propres mots, avec leur propre façon de voir et de ressentir. 
     
     
     
    N’hésitez  donc pas à user de votre sens de l’expression orale et écrite en toute occasion que vous jugerez appropriée. Internet est évidemment là pour vous faciliter la tâche. Par les e-mails, par les blogs, par les forums,....; par les monts et les vaux, usez et abusez. 
    A la façon de maints publicistes, élus et aménageurs. 
    Mais, à une différence près: en restant respectueux de la nature et de l’homme. 
     
     
    Merci de nous faire part de votre intervention . 
     
    Pour le CEA 
    Lilian Brunel 
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    ** Pour le financement du projet (coût total 2, 4 millions d’euros ) : 
    << le financement serait assuré à raison de 50% au moyen de subventions , soit : 
  • Etat, FNADT, Massif : 400 000 euros 
  • Conseil Régional:        400 000 euros 
  • Conseil Général :        400 000 euros >> 
  • Source: rapport de la mission d’expertise économique et financière (MEEF ) de la trésorerie générale de région, relatif à l’UTN 2005 de Guzet-Neige.  
     
    Les adresses correspondantes seront données ultérieurement. 
     
     
     
     
    davantage; pour être directement informé dans le cas d’ une
     
     
     
     
     
     
     
     
                                                 
     
      
     
     
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